Saviez-vous que les voitures électriques ne sont pas une invention récente ? Bien avant Tesla, Renault ou encore Hyundai, elles faisaient déjà partie du paysage automobile à la fin du XIXe siècle.
Aux origines de l’électrique : un tiers des motorisations dès 1898
Lors de la toute première édition du Mondial de l’Auto en 1898, les véhicules électriques étaient déjà exposés aux côtés des moteurs thermiques et à vapeur. À cette époque, près d’un tiers des motorisations étaient électriques. Un chiffre qui surprend quand on pense à la domination du moteur à essence qui suivra.
Un fait marquant restera gravé dans l’histoire : en 1899, Camille Jenatzy, ingénieur belge, devient le premier homme à franchir la barre des 100 km/h au volant de La Jamais Contente, une voiture 100 % électrique.
Le recul face au thermique, puis la renaissance
Malgré ses débuts prometteurs, l’électrique est peu à peu éclipsé par le moteur thermique, plus simple à produire et à alimenter au XXe siècle.
Il faudra attendre les années 2010 pour voir l’essor d’une nouvelle génération de voitures électriques, portée par des constructeurs comme Renault, et encouragée par une prise de conscience environnementale croissante.
Depuis 2018, le marché connaît une multiplication par cinq des ventes de véhicules électriques en Europe, confirmant que la mobilité durable n’est plus une tendance, mais une révolution en marche.
Mondial de l’Auto 2024 : l’électrique en vedette
En octobre 2024, le Mondial de l’Auto a célébré cette montée en puissance avec plus de 40 constructeurs venus présenter leurs modèles électrifiés. Comme l’a souligné Luc Chatel, ancien président de la Plateforme de l’Automobile (PFA) :
« Nous sommes revenus à l’époque des pionniers. »
Un retour aux sources, mais avec des technologies plus performantes, des batteries plus efficaces et un réseau de recharge en pleine expansion.
L’engagement de BIBUS France dans la mobilité durable
Chez BIBUS France, nous sommes fiers d’accompagner cette transition historique. Nos solutions innovantes soutiennent la transformation du secteur vers une mobilité plus durable, propre et responsable.
Parce que l’histoire nous le prouve : l’électrique n’est pas l’avenir, il est déjà notre présent.